Qui suis-je ?

Passionnée de nature et du monde du cheval depuis l'enfance, j'ai fait de l'équitation classique pendant environ dix ans. En 1994, j'ai obtenu mon brevet de cavalière. Puis, j'ai apprivoisé l'équitation d'extérieur avec différents chevaux privés et organisé mes propres randonnées.
Pourquoi « Les pas de Lakota » ? Lakota est ma première jument. Je l'ai rencontrée en 1998. Lakota est un cheval très volontaire, d'une générosité sans limite mais aussi très exigeante. L'approche classique ne lui convenant pas, je me suis tournée vers une approche différente, en allant travailler pour V.B. Elle pratiquait de la monte western tout en ayant une méthodologie amérindienne.

Cette expérience m'a permis de changer ma façon d'aborder le cheval.
Entre temps, j'ai commencé des études à l'Université de Lausanne, où j'ai obtenu en 2010 une Licence en Lettres. En parallèle, je m'occupais de mes chevaux que j'avais la chance d'avoir à la maison: Lakota, sa fille Shinook (née en 2006), et Mamut (qui s'est joint à nous comme copain de jeu).
 

En 2009, j'ai commencé à travailler à l'écurie « L'Enfant Takhi », à Fey, où je m'occupais des chevaux, les travaillais, et donnais des cours à des enfants et des adultes.
J'ai perfectionné mes connaissances, tant dans le travail technique que dans l'éthologie ou les soins aux chevaux. J'ai, par ailleurs, suivi la formation Equigarde pour la détention professionnelle d'équidés.
La naissance de Thomas, en décembre 2012 m'a amené à envisager une nouvelle organisation de ma vie professionnelle. Cela m'est apparu comme une solution idéale de me lancer avec mes chevaux dans une nouvelle aventure, pour transmettre ma passion et mes connaissances.
La naissance de Maëlle en décembre 2014 et de Loïc en janvier 2018 me conforte dans ce choix et mes trois enfants me poussent à sans cesse m'interroger pour développer une éducation bienveillante, suite logique à ma vision du travail avec les chevaux. Cette remise en question permanente m'amène à suivre diverses formations continues. Le déménagement à Rueyres-les-Prés, où nous sommes vraiment chez nous, avec de nouvelles installations, me permets de continuer à enrichir mes connaissances, tout en perfectionnant ma façon de les transmettre.